
Cela peut être un argument en faveur de l'utilisation de schémas thérapeutiques à base de dolutégravir dans les cas où il est difficile de maintenir des niveaux élevés d'observance ou il existe un risque accru d'interruptions de traitement.
Une étude française, dont les résultats ont été publiés dans la revue Open Forum Infectious Diseases, a révélé que les personnes prenant des traitements antirétroviraux basés sur l'inhibiteur de l'intégrase dolutégravir (Tivicay® ; également dans Juluca®, Dovato® et Triumeq®) avaient plus de risques de obtenir une suppression virale soutenue, même dans des situations de faible observance et d'interruptions de traitement, par rapport aux anciens schémas thérapeutiques à base de médicaments antirétroviraux (c. comme le raltégravir).
Les options de traitement du VIH ont progressé et se sont améliorées au fil du temps, et aujourd'hui, une grande partie des personnes infectées limitent leur traitement à un seul comprimé par jour.